Notre premier jour sans réveil est aussi notre dernier jour de voyage au cours duquel nous avons décidé de lever un peu le pied. Mais nous sommes vite rattrapés par les centaines de mètres, voire plus, qui séparent les stations de métro des lieux touristiques. Nous restons au centre-ville, autour de la Cité Interdite, qui occupe une position centrale à Pékin, en commençant par le charmant Parc Beihai pour lequel il faut s’acquitter d’un droit d’entrée de 2,5 euros et qui offre un écrin de verdure et de nature, avec un grand lac.

A la sortie du parc de grandes files d’attente devant des petites boutiques spécialisées dans des pâtisseries pékinoises attirent notre attention. Voir des locaux devant un magasin alimentaire ou un restaurant est souvent gage de qualité et nous incite à faire de même avant de choisir un florilège de biscuits. Les pâtisseries pékinoises se composent de graines de sésame, de noix, de sorte de feuilles de briques…

Nous continuons à longer la Cité Interdite et montons à la Tour du Tambour, qui représentait autrefois le centre de l’ancienne capitale mongole. Toutes les 30 minutes un spectacle de percussion y est donné pendant 5 minutes. La Tour offre un panorama intéressant sur les toits des hutongs, du fait de sa hauteur. Nous continuons notre promenade dominicale dans des rues toujours très animées où les Chinois prennent goût à consommer tout et n’importe quoi.

Notre ultime repas se fait dans notre auberge, avant de préparer nos sacs pour le départ du lendemain.

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