16 juin 2016
Petit à petit, nous prenons nos marques à Keliki, dans le bale de Poutou et Kompiang, nos hôtes très serviables. En milieu de matinée, nous retournons à Ubud afin d’approfondir notre exploration entamée la veille.
Le musée d’art Neka nous plonge dans l’art de la peinture balinaise, à travers différents styles et diverses époques. Sans nous emballer outre mesure, cette visite nous permet de couper avec l’agitation du centre-ville.
Autre solution pour s’évader à Ubud : s’enfoncer dans les terres et suivre les chemins qui débouchent sur les rizières. Ici alternent les habitations et les quelques restaurants bien à l’abri du tourisme de masse. Nous rejoignons justement le café-restaurant Sari Organic, pas si facile à trouver, et qui nous offre un cadre magnifique, avec une terrasse à la vue dégagée sur les rizières et la nature verdoyante. Le timing est parfait, nous arrivons à peine que la pluie se met à tomber. Un déjeuner que l’on apprécie autant par la qualité de sa nourriture que son cadre idyllique.
La pluie ayant du mal à cesser, nous nous engageons sur le chemin du retour sous la moiteur des gouttes tropicales, résignés à ne pouvoir rester secs.